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De 55 à 60 ans, posez les fondations d’une retraite réussie
Anticipez votre retraite pour en profiter pleinement.
Simuler sa retraite Contacter un conseillerEntre formalités administratives et derniers ajustements de votre stratégie pour maintenir votre niveau de vie, la dernière ligne droite avant la retraite n’est pas la moins importante.
Banque de Savoie vous accompagne pour ne manquer aucune étape et faire les bons choix à l’approche de cette importante échéance.

Savoir à quoi vous attendre avec le bilan retraite
Pour préparer votre retraite de façon efficace, il convient tout d’abord de savoir ce qui vous attend. À quel âge pourrez-vous partir à taux plein ? Quel sera le montant de votre rente ? Autant de questions auxquelles vous obtiendrez des réponses en réalisant votre bilan de retraite.
Accessible sur info-retraite.fr, ce document recense l’ensemble des droits acquis durant votre carrière professionnelle : les trimestres que vous avez validés et les points acquis dans vos régimes complémentaires. Si ce document présente des erreurs ou des omissions, il est impératif de vous adresser à votre caisse de retraite pour procéder aux modifications nécessaires : le calcul de votre pension en dépend.
Utilisez notre simulateur retraite pour établir gratuitement une estimation précise de votre pension de retraite. Le calcul, effectué à partir d’éléments provenant de votre relevé de carrière, reste toutefois susceptible de modifications selon votre âge et l’évolution de votre carrière professionnelle.
N’hésitez pas à faire appel à votre conseiller Banque de Savoie pour vous orienter dans vos démarches et pour établir la stratégie qui vous permettra de profiter d’une retraite optimale.
Compléter votre retraite avec des produits d’épargne adaptés
Quel que soit votre métier, il faut vous attendre à ce que votre pension de retraite soit inférieure à vos revenus professionnels. Et la différence peut s’avérer conséquente : on considère qu’un salarié ou un fonctionnaire non encadrant percevra l’équivalent de 60 à 75% de son dernier salaire et qu’un salarié cadre devra se contenter d’environ 50%(1).
Il est donc primordial d’anticiper et de vous constituer un capital retraite pour maintenir votre niveau de vie. Entre 55 et 60 ans, plusieurs solutions, parfois complémentaires, peuvent vous permettre d’y parvenir.
Dispositif spécialement dédié à la création d’un complément de retraite, le PER permet de constituer une épargne que vous pourrez percevoir sous forme de capital (éventuellement en plusieurs versements), de rente viagère ou une combinaison des deux.
Du fait de son objectif, l’épargne constituée sur votre PER est normalement bloquée jusqu’à votre départ en retraite. Toutefois, des cas de déblocage anticipé ont été prévus par le législateur (achat de votre résidence principale ou en cas d’accident de la vie(2)).
À moins que vous n’optiez pour la non-déductibilité, les sommes versées sur votre PER sont déduites de votre revenu imposable(3). Vous bénéficiez donc d’un avantage fiscal lors de la constitution de votre épargne, sous la forme d’une économie d’impôt.
Par exemple, si vous relevez de la tranche marginale d’imposition à 30%, un versement de 2000 euros sur votre PER vous permet de réduire votre impôt sur le revenu de 600 euros.
Ces sommes déduites seront potentiellement réintégrées dans vos revenus imposables lorsque vous percevrez votre complément de retraite, que ce soit sous forme de rente ou de capital.
Notez bien que cette déduction fiscale des versements est optionnelle. Il est possible d’y renoncer en phase de constitution de l’épargne. Dans ce cas, vous bénéficierez d’une fiscalité(3) un peu plus allégée à la sortie du contrat et différente selon le choix de sortie (en rente ou en capital).
Capable de répondre à différents objectifs, l’assurance vie se montre encore très adaptée pour vous constituer un complément de retraite. Particulièrement souple, elle vous permet d’opter pour le mode de gestion qui vous convient : soit vous gardez la main sur la gestion de votre contrat, soit vous en confiez la gestion à votre assureur.
Recourir à l’assurance vie présente plusieurs atouts : votre épargne reste disponible à tout moment, vous bénéficiez d’avantages fiscaux sur vos rachats dès que votre contrat a plus de huit ans et vous choisissez les bénéficiaires qui percevront votre capital en cas de décès, avec également des conditions fiscales(3) avantageuses.
Dévoué à une épargne de moyen ou long terme, le PEA vous permet d’investir sur les marchés financiers, principalement français et européens. Il vous fait profiter d’un cadre fiscal avantageux dans la durée et notamment lors de la sortie, que vous optiez pour un versement en capital (éventuellement fractionné) ou pour une rente.
Le dispositif s’est encore assoupli avec l’entrée en vigueur de la loi PACTE de 2019 : désormais, vous pouvez effectuer des retraits dès que votre contrat a plus de 5 ans (contre 8 ans auparavant) et sans avoir à clôturer votre PEA. Vous conservez par ailleurs la possibilité d’effectuer de nouveaux versements dans la limite du plafond légal.
L’idée de départ est simple : acquérir un bien grâce à un prêt immobilier, utiliser les loyers perçus pour honorer vos traites et rembourser le crédit avant votre arrivée à la retraite. Vous bénéficierez ainsi d’un complément de revenu régulier en encaissant vos loyers.
Mais l’investissement locatif peut prendre de nombreuses formes : dans le neuf ou dans l’ancien, au comptant ou à crédit, pour louer nu ou en meublé… Tous ces points méritent d’être sérieusement étudiés pour mettre en place la formule qui correspond à votre profil et vos objectifs. Certains dispositifs (Pinel, Denormandie, Marlraux…) présentent par exemple des avantages fiscaux, notamment des réductions d’impôts.
Entre 55 et 60 ans, selon vos besoins et votre capacité d’endettement, deux stratégies se dégagent. Dans les deux cas, il conviendra de porter une attention toute particulière à votre capacité d’endettement et à la durée du prêt.
Si vous disposez d’une capacité d’endettement avérée et optez pour une durée courte de remboursement de crédit (d’un maximum de 10 ans), vous pouvez :
– réaliser un premier projet d’investissement locatif pour utiliser les loyers comme compléments de revenu au moment de votre retraite ;
– procéder à de nouveaux projets, si vous en avez déjà réalisé avant, pour bénéficier d’avantages fiscaux. Votre nouvel investissement vous permettra alors d’utiliser les dispositifs du déficit foncier ou de réduction de votre impôt sur le revenu pour écraser les revenus locatifs devenus imposables.
Si vous disposez d’une capacité d’endettement suffisante pour opter pour une durée de remboursement de votre crédit compatible avec votre âge de départ à la retraite, vous pouvez également décider d’investir dans un bien locatif voué à devenir votre résidence principale à la fin de votre activité professionnelle. Cette solution s’avère particulièrement intéressante si vous n’êtes pas encore propriétaire de votre résidence principale ou si vous envisagez d’en changer pour un bien plus adapté à votre nouvelle vie de retraité.
Notez par ailleurs que si vous souhaitez éviter toutes les contraintes liées à la gestion d’un bien, il existe d’autres solutions pour investir dans l’immobilier. Ainsi, les Sociétés Civiles de Placement immobilier (SCPI) se chargent d’acquérir et de gérer un patrimoine immobilier locatif et vous reversent des loyers à hauteur des parts que vous détenez.
Enfin, en matière d’immobilier, ne négligez jamais l’importance d’être propriétaire de votre résidence principale : avoir entièrement payé votre logement en arrivant à la retraite vous permet d’économiser une part importante de votre budget.
Dispositif spécialement dédié à la création d’un complément de retraite, le PER permet de constituer une épargne que vous pourrez percevoir sous forme de capital (éventuellement en plusieurs versements), de rente viagère ou une combinaison des deux.
Du fait de son objectif, l’épargne constituée sur votre PER est normalement bloquée jusqu’à votre départ en retraite. Toutefois, des cas de déblocage anticipé ont été prévus par le législateur (achat de votre résidence principale ou en cas d’accident de la vie(2)).
À moins que vous n’optiez pour la non-déductibilité, les sommes versées sur votre PER sont déduites de votre revenu imposable(3). Vous bénéficiez donc d’un avantage fiscal lors de la constitution de votre épargne, sous la forme d’une économie d’impôt.
Par exemple, si vous relevez de la tranche marginale d’imposition à 30%, un versement de 2000 euros sur votre PER vous permet de réduire votre impôt sur le revenu de 600 euros.
Ces sommes déduites seront potentiellement réintégrées dans vos revenus imposables lorsque vous percevrez votre complément de retraite, que ce soit sous forme de rente ou de capital.
Notez bien que cette déduction fiscale des versements est optionnelle. Il est possible d’y renoncer en phase de constitution de l’épargne. Dans ce cas, vous bénéficierez d’une fiscalité(3) un peu plus allégée à la sortie du contrat et différente selon le choix de sortie (en rente ou en capital).
Capable de répondre à différents objectifs, l’assurance vie se montre encore très adaptée pour vous constituer un complément de retraite. Particulièrement souple, elle vous permet d’opter pour le mode de gestion qui vous convient : soit vous gardez la main sur la gestion de votre contrat, soit vous en confiez la gestion à votre assureur.
Recourir à l’assurance vie présente plusieurs atouts : votre épargne reste disponible à tout moment, vous bénéficiez d’avantages fiscaux sur vos rachats dès que votre contrat a plus de huit ans et vous choisissez les bénéficiaires qui percevront votre capital en cas de décès, avec également des conditions fiscales(3) avantageuses.
Dévoué à une épargne de moyen ou long terme, le PEA vous permet d’investir sur les marchés financiers, principalement français et européens. Il vous fait profiter d’un cadre fiscal avantageux dans la durée et notamment lors de la sortie, que vous optiez pour un versement en capital (éventuellement fractionné) ou pour une rente.
Le dispositif s’est encore assoupli avec l’entrée en vigueur de la loi PACTE de 2019 : désormais, vous pouvez effectuer des retraits dès que votre contrat a plus de 5 ans (contre 8 ans auparavant) et sans avoir à clôturer votre PEA. Vous conservez par ailleurs la possibilité d’effectuer de nouveaux versements dans la limite du plafond légal.
L’idée de départ est simple : acquérir un bien grâce à un prêt immobilier, utiliser les loyers perçus pour honorer vos traites et rembourser le crédit avant votre arrivée à la retraite. Vous bénéficierez ainsi d’un complément de revenu régulier en encaissant vos loyers.
Mais l’investissement locatif peut prendre de nombreuses formes : dans le neuf ou dans l’ancien, au comptant ou à crédit, pour louer nu ou en meublé… Tous ces points méritent d’être sérieusement étudiés pour mettre en place la formule qui correspond à votre profil et vos objectifs. Certains dispositifs (Pinel, Denormandie, Marlraux…) présentent par exemple des avantages fiscaux, notamment des réductions d’impôts.
Entre 55 et 60 ans, selon vos besoins et votre capacité d’endettement, deux stratégies se dégagent. Dans les deux cas, il conviendra de porter une attention toute particulière à votre capacité d’endettement et à la durée du prêt.
Si vous disposez d’une capacité d’endettement avérée et optez pour une durée courte de remboursement de crédit (d’un maximum de 10 ans), vous pouvez :
– réaliser un premier projet d’investissement locatif pour utiliser les loyers comme compléments de revenu au moment de votre retraite ;
– procéder à de nouveaux projets, si vous en avez déjà réalisé avant, pour bénéficier d’avantages fiscaux. Votre nouvel investissement vous permettra alors d’utiliser les dispositifs du déficit foncier ou de réduction de votre impôt sur le revenu pour écraser les revenus locatifs devenus imposables.
Si vous disposez d’une capacité d’endettement suffisante pour opter pour une durée de remboursement de votre crédit compatible avec votre âge de départ à la retraite, vous pouvez également décider d’investir dans un bien locatif voué à devenir votre résidence principale à la fin de votre activité professionnelle. Cette solution s’avère particulièrement intéressante si vous n’êtes pas encore propriétaire de votre résidence principale ou si vous envisagez d’en changer pour un bien plus adapté à votre nouvelle vie de retraité.
Notez par ailleurs que si vous souhaitez éviter toutes les contraintes liées à la gestion d’un bien, il existe d’autres solutions pour investir dans l’immobilier. Ainsi, les Sociétés Civiles de Placement immobilier (SCPI) se chargent d’acquérir et de gérer un patrimoine immobilier locatif et vous reversent des loyers à hauteur des parts que vous détenez.
Enfin, en matière d’immobilier, ne négligez jamais l’importance d’être propriétaire de votre résidence principale : avoir entièrement payé votre logement en arrivant à la retraite vous permet d’économiser une part importante de votre budget.
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(1) Selon les projections du Conseil d’orientation des retraites.
(2) Invalidité du titulaire, de ses enfants, de son époux ou épouse ou de son partenaire de Pacs, décès de l’époux ou de l’épouse ou du partenaire de Pacs, expiration des droits aux allocations chômage, surendettement (dans ce cas, c’est la commission de surendettement qui doit faire la demande), cessation d’activité non salariée à la suite d’un jugement de liquidation judiciaire, acquisition de la résidence principale (sauf pour les droits issus de versements obligatoires).
(3) Selon conditions et limites des dispositions fiscales en vigueur.
Crédits photos : Getty Images - Photographies retouchées.
